L’eau jaillit (merci le sourcier)
- Stéphanie Hinton
- 6 oct. 2021
- 1 min de lecture
On a de l’eau. Et pas qu’un peu.Depuis quelques jours, un nouveau puits artésien coule ici, sur nos terres, à raison de 500 gallons à l’heure. Un débit qui nous fait presque danser.
Mais avant le forage, il y a eu un moment suspendu.Un été sec. Une recherche d’eau qui s’éternise. Et puis… un sourcier.

Oui, oui. Un vrai.Avec ses baguettes de métal, ses mouvements imperceptibles, et cette manière de parler à la terre comme à une vieille amie. Yves Auger, sourcier de son état, est venu marcher le terrain, écouter le silence, lire les frémissements invisibles sous nos pieds.
On ne sait pas trop comment ça fonctionne. Mais il a pointé un endroit. Et c’est là qu’on a foré. Et c’est là que l’eau a jailli. Alors mystère ou pas, on est reconnaissants.
Merci à M. Luc Vézina, notre puisatier, d’avoir trouvé un moment pour nous dans son horaire chargé. Merci à la vie de nous avoir offert cette ressource si précieuse, juste à temps pour préparer les saisons à venir.
L’eau, c’est plus qu’une commodité. C’est ce qui rend tout le reste possible.Et aujourd’hui, elle est là.
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